TU COAGULES dans ma bouche
le sang de la dernière foi
et tu mets ton nez qui se couche
sous les paupières de mon beau sexe (d’après toi)
Pense un peu au JE des Autres et tu seras délivré du cachot ou tu te regardes seul avec ton JE, le tien, comme un jeu à la portée de toute perte.
Sais-tu qui va et vient dans cette hilarité atomisée de prudence, cette simulation attelée de réserve ?
Le prédateur connait mieux les forces de ses proies que ses propres limites à ôter la vie.
remonter sec les secondes qui précèdent le soleil me séparant de ce Dieu solitaire, exigeant mais affectueux.
un affaissement tonal en ré mineur, c’est l’unité retrouvée, et enfin, le soulagement.
mettre au pilori les points en suspension et ouvrir les portes à Dieu
on subit un destin qu’on ne peut qu’adopter…Eussé-je ici raison que je m’en réjouirais, de cette ligne comme beaucoup d’Autres
Au bout de la berge, le crépuscule des idiomes.
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