Ce texte est dédié à la présence subliminale d’Alexia Desfourneaux.
L’ Amour n’est pas soumis aux rayons feu-follet ni aux flammes violettes qui détachent le bien d’un mystérieux trésor. Je n’ai rien à ajouter. Toi oui.
Fin du fond les choses qui ne sont pas faciles à dire. Le reste c’est pour le détecteur de mensonge.
L’ Amour est un climax étendu sur le reflet d’un couteau halluciné par un étranger qui va tirer quatre fois sur un gisant à terre qui aura perdu de sa superbe au gré des douilles.
L’ Amour est une réunion de droites sécantes et indécentes qui n’auraient jamais du se rencontrer
Dans un espace-vide qui ne s’attend pas à ça
Pourtant profilé pour ça
Trop androgyne pour être vrai
Avec ce sourire habité par la chaîne que des pieds au cortex nous nous escrimons à faire mouvoir
Un corbillard et 4 clous de nombreuses béatitudes même s’il n’y aura plus de sermons sur nos montagnes
Les béatitudes resteront traduites dans toutes les langues au même titre que l’injustice
L’ Amour est celui qui donne de l’eau oxygénée quand on faim
Et une éponge humectée de vinaigre quand on a soif
Un geste familier
Ta main sur ma joue ma blessure incomprise comptine lentement qui se formule et se dessine
Apprenez-moi comment réunir l’affection et tous les quadrilatères de la raison de toutes les latitudes.
Il n’y aura jamais eu qu’une seule option pour changer la vie
À tout le moins pour éviter la multiplication du rien.
©Guillaume HOOGVELD #2020 pour le texte
©Henri MICHAUX pour la peinture. Droits réservés.
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