L’homme de peine

Je dis Je pour Vous je ne suis moi-même plus que le gardien de mon propre égo Je ne m'intéresse à qui sois-tu aux fils luisants préférant la nuit abhorrant l'ennui Je n'ai rien compris au désespoir je subis sa pièce trop lumineuse pour ressembler aux visages aimés défigurés déshabillés par la porte ouverte étroite

Soupir

Apollinaire part en pleurant Lou n'existe plus a-t-il soupiré Il cantine dans les soupes populaires le soir dans les tranchées la déception est saisissante et amère comme partout dans les artères de la vie qui bat son vide au poignet déchiqueté de ma montre il y a l'index des mots de chagrins ou vas-tu satellite... Lire la Suite →