NOCTURNE PEUR Le silence le bruit et le temps et le lieu : tout au cœur de la nuit vit un doute secret. Immobiles dormeurs ou veilleurs somnambules nous ne pouvons rien faire à l’angoisse cachée. Et fermer les yeux dans l’ombre ne suffit pas ni les plonger dans le sommeil pour ne plus regarder,... Lire la Suite →
Manifeste de Martine Plaucheur ou la Fierté des Gueux…Ou comment rendre justice au peuple des ombres.
La fierté, au sens du « pride » anglais, c’est cet acte subversif par lequel les exclus transforment la honte dont la société les affuble en dignité, et reprennent la maîtrise de leur destin. Nous les gueux, les déclassés, les obscurs, à qui le système interdit tout succès trop éclatant pouvant faire ombrage à ses... Lire la Suite →
Tabula rasa.
Tu pensais jusqu'à maintenant que le monde était de ton envergure J'ai pleuré hier quand tes mots se sont heurtés à ma figure Des larmes chaudes et généreuses un paradoxe puisque je n'avais plus rien à te donner J'étais animé par la tentation de me retrouver Un paradoxe il pleuvait c'était le 15 août le... Lire la Suite →
Barabas est vivant.
Ce texte est particulièrement dédié à Nancy, mon amie de toutes les vies de tous les détours, les hors-champs, les envers du décor auquel nous avons survécu. https://www.facebook.com/cyneye J'attends le mauvais soir Je parcours à sang d'encre un continuum espace violence Perdu plume et autres outils... Lire la Suite →
TZARA / Extraits par milliers de voyages à parcourir dans l” Homme Approximatif” (1925-1930)
même sous l’écorce des bouleaux la vie se perd en hypothèses sanglantes où les pics picorent des astres et les renards éternuent des échos insulaires mais de quelles profondeurs surgissent ces flocons d’âmes damnées qui grisent les étangs de leur chaude paresse est-ce le cygne qui gargarise son blanc d’eau blanc est le reflet dont... Lire la Suite →
Parce qu’il ne faut pas retenir sa vie.
Parce que c'était ailleurs Parce que c'était un brin de mai le printemps Parce que c'était précisément Comme souffle le temps Parce que j'aimais trop le bonheur tout en craignant la Vie Son rythme presto lento et ses coups kilométriques Le legato élancé des morsures de l' été La triste fin des comiques Toutes les... Lire la Suite →
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