Monsieur, Vous êtes heureux, vous, de ne plus habiter Charleville ! - Ma ville natale est supérieurement idiote entre les petites villes de province. Sur cela, voyez-vous, je n'ai plus d'illusions. Parce qu'elle est à côté de Mézières, - une ville qu'on ne trouve pas, - parce qu'elle voit pérégriner dans ses rues deux ou... Lire la Suite →
Guillaume pour William Ashtray #1
Guillaume si tu t’appelles encore Guillaume Si tu existes encore Guillaume, ne te fais plus jamais dicter ta vie par quelqu’un Quelqu’un - les autres sont des fantômes - Sauve ta peau Tes parents sont morts à toi-même sans le savoir sans le vouloir – tu pardonnes - Tu n’as jamais cessé de t’excuser... Lire la Suite →
Abel Bonnard 1883-1968 / Le drame à droite, une sublime Langue ensevelie
« Quand nous parlons d'un temps dramatique, ce mot a un sens précis : il veut dire que nous sommes pris dans une alternative qui ne nous permet plus d'exister médiocrement ; il nous faut vivre plus puissamment, ou bien disparaître, nous surpasser ou nous abolir. (…) La tragédie essentielle n'est pas de... Lire la Suite →
Protégé : Courrier “fondateur” de mon ami Thomas Sch. daté du 310706
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Guillaume par Thomas SCHLESSER
Guillaume La fièvre coulée dans l'intaille Et un mot-clef en suspens Dans le vide des serrures Une agonie à porter de main Tu succombes à l'apnée des fictions Au devant des solitudes, les méridiens t'appellent et tu réponds par la peur Les ascèses corrompent ta voix Les harmoniques s'éclipsent quand tu dénatures les pertes Tes... Lire la Suite →
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