Comme un long métrage tendu vers une série d’aiguillages
Sur toute l’étendue de ce qui fait
FICTION en moi
Je me dénoue en pleine éternité
Je te fixe à jamais
Sur l’émulsion numérique
Des joies et des crachins de mars
Le poids de ma naissance
Alimentant tes plus belles réalisations
En face desquelles je m’incline
Avec une forme de passion
L’œil est sinueux
La science confuse
J’associe la chambre claire
A la lumière de faubourg
D’un réverbère
Je me situe à l’extrême nord de mon corps
Autant de corps et d’autres corps flottants
Se repliant dans le mystère d’alors
Prions aux encore à venir
Aux miracles à situer
Aux finalités en présences
De fées étincelantes
©Guillaume HOOGVELD #2024 pour le texte
©Guillaume HOOGVELD #2024 pour la photographie de Rodin
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