©HOOGVELD, Sous la vitesse de la marche ©
Temps-réels insolites
satellites solitaires
Un son de Stradivarius venu de partout qui vient déchirer le panorama des ombres silencieuses
Nous sommes tous les deux forces de présence négociant nos identités repliées multiples
Mais le corps n’est pas fait pour les chiens
Les cages dorées les cages d’acier platines émaillés
N’auront jamais le goût l’instinct de nos deux libertés
Détonateurs adossés aux ennuis des rases-ciels qui se font péter la farine
Comme un happening de Warhol le troisième jour après la mort
L’air hagard d’une nuit de parano sur la toile
De la cendre dans tes cheveux
Le corps incarcéré dans une posture asthmatique
absorbant cette avarie qui n’aura pas d’aveux
Dégoulinant d’instinct vers la sortie de secours en haute définition
Ce cœur corrigé par les appels de détresse
L’amertume de ne vivre qu’une fois et une seule fois pour soi………………
Guillaume HOOGVELD pré-2009 © RE-Post 2011©
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