à Léon-Paul Fargue Rien n’obscurcira la beauté de ce monde.Les pleurs peuvent inonder toute la vision. La souffrancepeut enfoncer ses griffes dans ma gorge. Le regret,l’amertume, peuvent élever leurs murailles de cendre,la lâcheté, la haine, peuvent étendre leur nuit,Rien n’obscurcira la beauté de ce monde. Nulle défaite ne m’a été épargnée. J’ai connule goût... Lire la Suite →
Rase mon bitume
©GUILLAUME HOOGVELD 199X BOIS COLOMBES RAIL DE JOUR La vie nous pousse à liquider le sens au profit du semblable Au profit du vacarme Et du triangle vert amer Posé sur un même billet vertQui justifie sa valeur à coup de surin sur les peuples Il n'y a donc que les taiseurs qui se distinguent... Lire la Suite →
Sur les nuages obscurs de l’Amour
Ce texte est dédié à la présence subliminale d'Alexia Desfourneaux. L' Amour n'est pas soumis aux rayons feu-follet ni aux flammes violettes qui détachent le bien d'un mystérieux trésor. Je n'ai rien à ajouter. Toi oui. Fin du fond les choses qui ne sont pas faciles à dire. Le reste c'est pour le... Lire la Suite →
MICHEL HOUELLEBECQ in « Les Particules élémentaires », Paris, Flammarion, 1998
« Il est difficile d’imaginer plus con, plus agressif, plus insupportable et plus haineux qu’un pré-adolescent, spécialement lorsqu’il est réuni avec d’autres garçons de son âge. Le pré-adolescent est un monstre doublé d’un imbécile, son conformisme est presque incroyable ; le pré-adolescent semble la cristallisation subite, maléfique (et imprévisible si l’on considère l’enfant) de ce... Lire la Suite →
Michael PALMER / First figure / Echo (Pascal Quignard)/Abstract
(texte antiparallèle pour Pascal Quignard 1) Which resounds. Re-sounds. Where first follow. The letter he had lost reappeared in his palm. Identity was the cause. Not that the word spoken had been heard. Not that a word spoken can be seen, even partially, traced against the screen. Language copies him in its listening, tracing his... Lire la Suite →
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