Ce texte est dédié à mon ami généreux et infatigable manufacturier de Poésie de langue française dans son antre du 23 rue Racine à Odéon, Paris, rive gauche, Alain BRETON. Vous n'avez aucune idée de ceux qui rôdent la nuit en croyant que c'est le jour vous n'avez pas l'idée fixe qui vous stopperait net... Lire la Suite →
Valsez les consciences
Comme quelqu'un qui prendrait ses dispositions Qui échouerait la main mise à sac sur le damier des fous La nef et le transept fleurissant d'affabulations saisissantes Comme quelqu'un qui miserait tout jusqu'au cou Je suis posé là j'ai pris mes dispositions mes phares mes balises émerveillant la violence Refermant ses degrés la mesure des théorèmes... Lire la Suite →
Insurrection à libération immédiate
J’aurais aimé dire qui je suis à quelqu’un. Quelque chose aurait certainement changé ; pas en moi, mais peut-être chez mes proches. J’ai marché ; c’était le désert, il y avait une palmeraie qui annonçait de longues heures de repos, dont nous avions tant espoir. Vous êtes parti vous avez dit au revoir et pas... Lire la Suite →
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