Je déserte tranquillement il y a ici trois individus formellement anonymes et identifiés dans la Baixa qui fourmillent à Lisbonne qui dépêchent leurs pas ils sont pressés par leur comptabilité le temps imparti leur est perdu d'avance il s n'avaient pas la force nerveuse de leurs affectations ils s'appelaient Alberto Ricardo Bernardo et autant d'... Lire la Suite →
… Antonio Ramos Rosa, ou comment être poète au Portugal après la déflagration Pessoa
Le papier, la table, le soleil, la plume... A côté, la fenêtre. Et je ne possède rien et je ne suis rien de ce que j’écris. Et je n’attends rien de tout ce que j’attends. Tandis que j’écris je ne suis pas ne veux rien n’écoute ni les paroles ni le silence. J’aligne des mots... Lire la Suite →
J’ai en moi
J'ai été moi J'ai été moi sous tous les souffles La main coupée mes idiomes alertes J'ai en moi tous les crépuscules qui s'affaissent dès que les yeux des amants ne savent plus se parler J'ai en moi toutes les localités Mille lieux de béton sous la mer mille manières de battre le fer... Lire la Suite →
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.