Monsieur le législateur, Monsieur le législateur de la loi de 1916, agrémentée du décret de juillet 1917 sur les stupéfiants, tu es un con. Ta loi ne sert qu’à embêter la pharmacie mondiale sans profit pour l’étiage toxicomaniaque de la nation parce que 1° Le nombre des toxicomanes qui s’approvisionnent chez le pharmacien est infime ;... Lire la Suite →
Beau comme Baudelaire
« J'ai trouvé la définition du Beau, - de mon Beau - . C'est quelque chose d’ardent et de triste, quelque chose d'un peu vague, laissant carrière à la conjecture. Je vais, si l'on veut, appliquer mes idées à un objet sensible, à l’objet, par exemple, le plus intéressant dans la société, à un visage de... Lire la Suite →
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