Une chose m’étonne prodigieusement - j’oserai dire qu’elle me stupéfie -c’est qu ’à l’heure scientifique où j’écris, après les innombrables expériences, après les scandales journaliers, il puisse exister encore dans notre chère France [...] un électeur, un seul électeur, cet animal irrationnel, inorganique, hallucinant, qui consente à se déranger de ses affaires, de ses rêves... Lire la Suite →
Jean Botéro – La défaite de la connaissance au profit de l’utilitarisme
« Il s'est levé depuis quelque temps dans nos pays un terrible ouragan de subversion qui cherche, sans le dire, à écarter tout ce que nous mettions en avant de désintéressé, d'accueillant et d'ouvert au monde, aux choses et aux autres, d'appliqué à nous dilater l'esprit et le cœur, pour le remplacer par l'unique... Lire la Suite →
Pandémie poétique rive gauche, texte dédié à Alain Breton
Ce texte est dédié à mon ami généreux et infatigable manufacturier de Poésie de langue française dans son antre du 23 rue Racine à Odéon, Paris, rive gauche, Alain BRETON. Vous n'avez aucune idée de ceux qui rôdent la nuit en croyant que c'est le jour vous n'avez pas l'idée fixe qui vous stopperait net... Lire la Suite →
Luc DELLISSE / Inédits / L’inconfort
Dans ma lutte contre le monde, je suis sans armes et sans outils. Si j’ai eu un royaume, il est détruit depuis longtemps. Tout recommence toujours à zéro. Je m’accommode des conditions précaires de la vie. Il m’arrive même de me dépouiller de mes sauvegardes.... Lire la Suite →
Scott Fitzgerald et la « Fêlure » * (« The crack-up »)
Février 1936. Toute vie est bien entendu un processus de démolition, mais les atteintes qui font le travail à coups d’éclat – les grandes poussées soudaines qui viennent ou semblent venir du dehors, celles dont on se souvient, auxquelles on attribue la responsabilité des choses, et dont on parle à ses amis aux instants de... Lire la Suite →
Pompidou cite Éluard Vs Sarkozy qui ne cite que lui-même. Démonstration
Les hauteurs d'entretiens avec des personnalités politiques qui avaient des lettres dans la tête et peut-être dans le cœur. En 2007, la parole présidentielle comme le montre cette vidéo, s'offre de la délicatesse et de la tenue : "Comprenne qui voudra Moi mon remords ce fut La malheureuse qui resta Sur le pavé... Lire la Suite →
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