À celle qui a toujours su être là, même dans mes abimes, MVK, ma confidente de toute intensité. Il va venir le temps est soutiré il va venir le temps est suspendu aux étrennes des privilégiés qui passent à travers vallées mont et massifs en se parant de longs manteaux lascifs sans avoir la force... Lire la Suite →
Xavier VILLAURRUTIA / Un spectre majeur de la création assigné à l’ombre dont il est le moment d’aveugler de lumière.
NOCTURNE PEUR Le silence le bruit et le temps et le lieu : tout au cœur de la nuit vit un doute secret. Immobiles dormeurs ou veilleurs somnambules nous ne pouvons rien faire à l’angoisse cachée. Et fermer les yeux dans l’ombre ne suffit pas ni les plonger dans le sommeil pour ne plus regarder,... Lire la Suite →
Barabas est vivant.
Ce texte est particulièrement dédié à Nancy, mon amie de toutes les vies de tous les détours, les hors-champs, les envers du décor auquel nous avons survécu. https://www.facebook.com/cyneye J'attends le mauvais soir Je parcours à sang d'encre un continuum espace violence Perdu plume et autres outils... Lire la Suite →
TZARA / Extraits par milliers de voyages à parcourir dans l” Homme Approximatif” (1925-1930)
même sous l’écorce des bouleaux la vie se perd en hypothèses sanglantes où les pics picorent des astres et les renards éternuent des échos insulaires mais de quelles profondeurs surgissent ces flocons d’âmes damnées qui grisent les étangs de leur chaude paresse est-ce le cygne qui gargarise son blanc d’eau blanc est le reflet dont... Lire la Suite →
Parce qu’il ne faut pas retenir sa vie.
Parce que c'était ailleurs Parce que c'était un brin de mai le printemps Parce que c'était précisément Comme souffle le temps Parce que j'aimais trop le bonheur tout en craignant la Vie Son rythme presto lento et ses coups kilométriques Le legato élancé des morsures de l' été La triste fin des comiques Toutes les... Lire la Suite →
… Antonio Ramos Rosa, ou comment être poète au Portugal après la déflagration Pessoa
Le papier, la table, le soleil, la plume... A côté, la fenêtre. Et je ne possède rien et je ne suis rien de ce que j’écris. Et je n’attends rien de tout ce que j’attends. Tandis que j’écris je ne suis pas ne veux rien n’écoute ni les paroles ni le silence. J’aligne des mots... Lire la Suite →
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