Sans commentaire. ÉDITO de Pierre Assouline du Magazine Littéraire 565/MARS 2016 Veillez à cliquer sur l'article pour augmenter le confort de lecture.
Atteinte à la sureté de l’Écrit ou le formatage de la créativité par le diplôme.
IMAGINEZ... Imaginez Balzac, Gide, Claudel, Camus, Bernanos, Céline, Duras, Gary, Anaîs Nin, Virginia Woolf, Yourcenar, Proust, Pavese, Joyce, Leopardi, Malaparte, Miller, Houellebecq, Dantec, Despentes, Annie Ernaux Imaginez-les parfumés adoubés d'un diplôme d'aptitude à l'écriture romanesque issu d'un funeste cursus "universitaire". Et bien c’est devenu possible dans l'enseignement "supérieur". C'est bien la nature, la genèse et... Lire la Suite →
Xavier VILLAURRUTIA / Un spectre majeur de la création assigné à l’ombre dont il est le moment d’aveugler de lumière.
NOCTURNE PEUR Le silence le bruit et le temps et le lieu : tout au cœur de la nuit vit un doute secret. Immobiles dormeurs ou veilleurs somnambules nous ne pouvons rien faire à l’angoisse cachée. Et fermer les yeux dans l’ombre ne suffit pas ni les plonger dans le sommeil pour ne plus regarder,... Lire la Suite →
Manifeste de Martine Plaucheur ou la Fierté des Gueux…Ou comment rendre justice au peuple des ombres.
La fierté, au sens du « pride » anglais, c’est cet acte subversif par lequel les exclus transforment la honte dont la société les affuble en dignité, et reprennent la maîtrise de leur destin. Nous les gueux, les déclassés, les obscurs, à qui le système interdit tout succès trop éclatant pouvant faire ombrage à ses... Lire la Suite →
Barabas est vivant.
Ce texte est particulièrement dédié à Nancy, mon amie de toutes les vies de tous les détours, les hors-champs, les envers du décor auquel nous avons survécu. https://www.facebook.com/cyneye J'attends le mauvais soir Je parcours à sang d'encre un continuum espace violence Perdu plume et autres outils... Lire la Suite →
TZARA / Extraits par milliers de voyages à parcourir dans l” Homme Approximatif” (1925-1930)
même sous l’écorce des bouleaux la vie se perd en hypothèses sanglantes où les pics picorent des astres et les renards éternuent des échos insulaires mais de quelles profondeurs surgissent ces flocons d’âmes damnées qui grisent les étangs de leur chaude paresse est-ce le cygne qui gargarise son blanc d’eau blanc est le reflet dont... Lire la Suite →
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